« Finalement, elles (les âmes) entrent dans la première pièce du bas, mais il entre avec elles tant de sales bêtes qui ne leur laisse aucun répit ni apprécier la beauté du château, que c’est déjà beaucoup pour elles d’y être entrées. »
Thérèse d’Avila, Le château intérieur.
Traduction Claude Allaigre
Bibliothèque de la Pléiade n° 583, 2012.
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