« Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt. »
J’ai visité, hier, l’atelier de Véronique Zimmerman à Méteren (Nord). Elle exposait ses dentelles contemporaines à l’occasion des « Portes ouvertes d’ateliers d’artistes ». J’ai brusquement compris que l’essence de la dentelle, c’est le vide, le manque, le trou. Comme le désir, la dentelle est métonymie du manque ou métaphore du désir… Alors, chez moi, ce matin, j’ai ré-imprimé cette gravure (publiée sur ce blog le 25 mai) sur des photos du « Monde magazine ».
Amis visiteurs, qu’en pensez-vous ?
Bonjour,
J’en pense que j’aime beaucoup.
Déjà la gravure seule.
Et là les quatre ensemble.
Ensuite s’il ne devait en exister qu’une je crois que ce serait celle en haut à droite.
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Très belle idée cette dentelle sur fond de magazine. La dentelle comme tu le dis c’est construire du vide. merci de ton passage. Je t’embrasse
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On pourait penser qu’une araignée est passée par là ! Et tisser une toile c’est tout un savoir faire ! Chapeau pour les couleurs et les compositions !
A bientôt !
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