Je suis en train d’essayer de mettre au point une technique qui me permettrait de tirer profit de cette technique de « papyrogravure » que j’ai utilisée pour « le rêve de la grotte perdue » ; tirer profit de ce que cette technique apporte d’imprévu et de non maîtrisable pour en faire des tailles-douces qui m’autoriseraient véritablement le multiple.
Le principe technique de ma recherche est basé sur celui de l’aquatinte au sucre. Dans cette technique, on dessine sur la plaque de métal avec du sirop, on vernit, on passe à l’eau, le vernis saute là où il y a du sucre, met à nu le métal qui est mordu à l’acide. Je remplace le sirop de sucre par de l’encre à l’eau pour linogravure. Cela me permet d’imprimer mes papyrogravures sur le métal. Puis je vernis, passe à l’eau puis à l’acide. Voici le premier état d’une tentative sur « le rêve de la grotte perdue« . Je vais compléter cette aquatinte au burin.
Dimension de la plaque gravée : 10 x 15 cm.
Cliquer sur l’image pour agrandir.
Une recherche captivante ! Se sont ces imprévus qui stimulent l’imagination !
Bonne découverte !
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